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29 décembre 2023 5 29 /12 /décembre /2023 08:06
A tribute to… (en A3)

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28 décembre 2023 4 28 /12 /décembre /2023 07:48
A tribute to … (en A3)

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27 décembre 2023 3 27 /12 /décembre /2023 05:33
A tribute to … ( en A3)

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27 décembre 2023 3 27 /12 /décembre /2023 05:32
A tribute to … (en A3)

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21 décembre 2023 4 21 /12 /décembre /2023 10:44

Hello les blogos ! Dissizihinde la blogose !

La fin de l'année nous incite irrémédiablement à revenir à tous ces jours précédents, à une sorte de rétrospective imparfaite, ce coup d’œil sur le passé qui fait l'histoire, la petite histoire personnelle, annuelle et subjective.
On repense alors aux bonheurs et malheurs qui ont émaillé les heures et les jours, aux rencontres nourricières, à ces petites choses grandes comme des événements éminents, à des incidents conjoncturels qui nous ont laissé de marbre, car le plein déborde tant, à des actes manqués et des consciences acérées nourries de lecture, de solitude et de joie commune. On revois des visages disparus qui vivent encore, on reconsidère des jugements que trop péremptoires, des certitudes qui n'en sont plus et plus encore des certitudes désormais inéluctables.
Et vous allez me dire à cet instant : " Mais qu'est-ce qu'il nous fait chier avec ces propos nébuleux et probablement creux ?"
Bon d'abord, je vous enquiquine avec un réel euphémisme et puis, conscient du pouvoir créatif que je m'octroie, je fais bien ce que je veux dans cet océan d'interdits et d'oppressions plus libérales que libertaires.
Allons droit au but néanmoins.
Ploum ploum !
2023
En cette très jolie année, toujours pas d'exégèse sur la période covidienne, nulle critique et aucun examen. Du passé, faisons table rase et haro sur les incrédules. Tout comme la réforme des retraites, les gilets jaune et consort, on saute allègrement les fossés en écornant quelques mirettes et on passe à autre chose. Autre chose ? Pas vraiment. Rapports du GIEC et COP s'enchaînent, avec ou sans vaseline, la consommation a toujours le vent en croupe, la science fait chier, Iel l'emporte sur le féminin, les ouvriers, selon les études sociologiques, sont vraiment cons, Trotski tue l'ski selon les nantis sympas, le racisme est un point de vue et le "on ne peut plus rien dire" s'échoue sur les opinions libérées et très audibles malgré tout. Le gras est gras, l'alcool tue, la fraternité gît au fond de la Méditerranée, la putain de vis 305-GR-L789 d'Ikéa est introuvable et la main de ma sœur est perdue dans la culotte de Gérard, mais bon, c'est Gérard. Tout va bien et plutôt deux fois qu'une.
2023
Une année vraiment très jolie ...
... hein ? Trop funèbre, déprimant et sinistre ? Ok Ok ! Cherchons la lumière ... voilà ... bon ... Ah ! la voilà !
...
( A suivre )*

* Quel storytelling ingénieux et indiscutablement sagace. On a hâte !

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21 décembre 2023 4 21 /12 /décembre /2023 10:43
A TRIBUTE TO ...

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20 décembre 2023 3 20 /12 /décembre /2023 04:24
A tribute to …

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19 décembre 2023 2 19 /12 /décembre /2023 13:22
A tribute to …

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19 décembre 2023 2 19 /12 /décembre /2023 13:21
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18 décembre 2023 1 18 /12 /décembre /2023 04:33

Hello les blogos ! Crac Crac la blogose !

L'éclatante blancheur. Des cristaux effilés épousant les courbes et galbes, silhouettes silencieuses. Le gel qui s'étale et imprègne jusqu'au plus aigu d'une corde atone, herbe cinglée et dentelles d'araignée. Ciel opalin et sonorité ouatée. 
C'était hier et encore à cette heure matutinale. La magie de l'hiver et du froid. Le dénuement jusqu'à l'extase. 
Le matin dans la campagne, avant les hommes bruissants et leur entrain mécanique.
De toute beauté.
Cette même beauté du triptyque littéraire cher au Surréalisme : le beau, le juste, le vrai. 
Se pourrait-il qu'un jour il s'exalte à nouveau ? Va savoir Charles. Baudelaire, il va sans dire. Celui qui nous incitait à s'enivrer. De vin, de poésie, d'amour ... ou de vertu, à notre guise.
Et il en faut de l'enivrement pour absorber ce monde inique et aliéné. Di Diù ! De l'ivresse jusqu'à la lie ou l'hallali, à votre guise. Et là ... PAF ! Qu'apprends-je ? La mort de Claude Villers. Vite, un verre ... s'enivrer pour oublier ou pour se souvenir. Claude Villers. Si une voix m'a fait vibrer durant mon enfance, c'était bien celle de Claude. Elle m'a portée lors de mes incessantes heures passées sur ma table de dessin, le jour et la nuit. D'où ma passion pour la radio, pour la Maison Ronde, pour les mots, la littérature et les voyages immobiles que je faisais lors de son émission phare, au titre merveilleux : "Je vous écris du plus loin de mes rêves." Et après bien sûr, "Le tribunal des flagrants délires", Régo et mon maître absolu, fin ciseleur de mots, avec ou sans jeux : Pierre Desproges. "Bonjour ma colère, salut ma hargne et mon courroux ... COUCOU !"
Alors bon, coucou Claude et salut Villers.
Et dire que je me suis lancé dans un "A tribute to ..." comme pour mieux souligner, non pas une nostalgie d'un désir d'on ne sait quoi, mais bien un rendez-vous chaleureux avec ce qui a été et est toujours.
Le beau, le juste, le vrai.
Claude Villers quoi.
Allez, une ballade dans le froid.
Je vous écris de plus loin de mes présents ...

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